Pour Areva, la facture est limitée. Si le contrat s’élevait à près de 2 milliards d’euros par an pour NMP, l’entreprise française n’y était que minoritaire, avec un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros par an. En revanche, l’annulation de ce contrat vient illustrer une nouvelle fois les graves difficultés de Sellafield, l’un des deux plus gros sites de déchets radioactifs au monde, avec Hanford aux Etats-Unis.
mercredi 14 janvier 2015
A Sellafield, le fiasco du retraitement des déchets nucléaires britanniques Le Monde.fr | 14.01.2015 | Par Eric Albert (Londres, correspondance)
Pour Areva, la facture est limitée. Si le contrat s’élevait à près de 2 milliards d’euros par an pour NMP, l’entreprise française n’y était que minoritaire, avec un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros par an. En revanche, l’annulation de ce contrat vient illustrer une nouvelle fois les graves difficultés de Sellafield, l’un des deux plus gros sites de déchets radioactifs au monde, avec Hanford aux Etats-Unis.
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