Les équipes d’exploitation de la
centrale nucléaire de Fessenheim
(dans le cadre de la préparation d’un arrêt pour maintenance en 2015 de
l’unité de production n°2), ont détecté «un écart documentaire» qui a
été confirmé le 4 décembre 2014.
Suite à cette détection, un programme de contrôles renforcés a été mené
sur des organes de robinetterie présents sur les 2 unités de production.
Deux mois après, soit le 5 février 2015, dans le cadre de ce
programme, un technicien de la centrale a détecté la position non
conforme d'une vanne localisée dans le bâtiment des auxiliaires
nucléaires,
précise EDF. Dès la détection de l’écart, la position de la vanne a été immédiatement remise en conformité.
Une détection tardive
EDF assure que cet événement n'a eu aucune conséquence sur la sûreté
des installations, ni sur l'environnement et il a été déclaré le 6
février, par la direction de la centrale à l'Autorité de sûreté
nucléaire (ASN) au niveau 1 de l'échelle INES, qui en compte 7, en
raison de sa détection tardive au regard des règles générales
d'exploitation.
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